jeudi 1 décembre 2016

Leur corps est à elles. Ou : les organes de la gauche.


Ainsi, les inconditionnelles tatouées du “mon corps est à moi” sont des organes prélevés dans le corps de leur mère… Des parcelles d’utérus que leur maman a bien voulu léguer à République… Des quartiers de chair à pattes. Vu comme cela, évidemment, l’avortement est banal. 
Qui parviendra à leur faire comprendre que le locataire de leurs entrailles est un être humain nouveau, engendré sur le seuil de notre univers matériel par la fusion des particules de deux tierces personnes de sexes complémentaires, un père et une mère ? 
Qui leur ouvrira les yeux sur le miracle inouï qui fait que ledit être humain nouveau est unique ; que parmi les dix ou vingt milliards d’individus qui depuis Adam et Ève ont peuplé la Terre, jamais encore il n’a existé ; et que parmi le nombre inconnu de milliards d’êtres humains qui nous succéderont, jamais plus il n’existera.
Qui leur fera prendre conscience qu’en refusant l’accès à la vie de cet être-là, c’est cent mille vies qu’elles amputent de l’humanité future.
Je ne sais si votre corps vous appartient. Mais, celui que vous hébergez, certainement pas ! Vous lui offrez le clos et le couvert. C’est admirable. C’est un privilège qui confère à la femme la première place dans la genèse de l’humanité. Ne gâchez pas cet honneur pour quelques vulgaires slogans politiques.

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