mardi 22 juillet 2014

Antisémitisme ?


“Antisémitime“ ! Hollande, Valls et les autres ne voient que cela dans les émeutes de Sarcelles, de Barbès et d’ailleurs : « la lutte contre l’antisémitisme est une priorité nationale », « c’est tout simplement de l’antisémitisme, du racisme »… Mais, ces hordes de sauvages, comme les a appelés le maire de Sarcelles, se moquent bien du sémitisme et de son contraire. Ils ne savent même pas où est Gaza. Ils sont casseurs, c’est tout. Il paraît que les juifs ont peur pour leur sécurité et veulent fuir la France. Mais, cela ne changerait rien aux casseurs qui casseraient toujours, pour d’autres prétextes, voilà tout. Si l’on veut soigner le mal, il faut d’abord l’identifier correctement. Or ce mal n’est pas de l’antisémitisme. Il est de l’antiFrance. Ces Français-là, dont proviennent les casseurs, détestent les Français. Ils veulent la France sans les Français. Ceux qui se haussent du col aujourd’hui en criant hypocritement à l’antisémitisme veulent cacher qu’ils sont les responsables de la situation. Ils n’ont eu de cesse d’inonder la France d’une population africaine non assimilable en masse, parce que d’une culture et d’une religion antinomiques au nôtres. Les uns ont agi par bêtise, par utopie universaliste irréfléchie. Les autres par intérêt sordide, pour se constituer des réserves électorales. Résultat : l’inévitable phénomène de rejet qui voit s’affronter aujourd’hui les masses autochtones aux masses immigrées. Alors, messieurs les apprentis sorciers, un peu de courage ! Il faut traiter l’incendie à la base des flammes. C’est-à-dire à la base de l’immigration.

dimanche 20 juillet 2014

Festival International du Livre Militaire


J'étais, vendredi et samedi, au Festival International du Livre Militaire à. Coëtquidan, où je dédicaçais mon livre "Capitaine de La Garde". Magnifique manifestation littéraire, superbement organisée. 120 auteurs sous un chapiteau géant, plus de mille livres de haut niveau offerts au public. Cela au coeur de cette école militaire interarmes qui réunit plus de 5000 personnes, sur 5500 hectares. Et pour finir, "le Triomphe", la cérémonie prestigieuse de clôture de la formation de la promo des élèves officiers de l'armée de Terre. Pendant deux jours, malgré la chaleur torride, j'ai observé la foule des visiteurs, essentiellement les familles de militaires. Vous dirai-je que j'ai été frappé par un détail qui fera sourire : je n'avais pas vu depuis bien longtemps une telle densité de femmes en jupe ou en robe ! Car, dans ces familles-là, les femmes ne singent pas les hommes en portant ostensiblement leur pantalon. Dans ces familles, l'homme, c'est le mari. L'épouse le complète merveilleusement souvent, mais ne cherche pas à prendre sa place. Quand l'homme est viril, la femme est féminine. Quant aux femmes militaires — elles sont nombreuses aujourd'hui — même si les jupes de leur uniforme ne sont pas forcément très sexy, elles sont là pour servir, en soldats, soldats femmes, peut-être, mais femmes. Dieu, que cela fait du bien de changer de monde un instant ! De se retrouver dans la vraie France, au milieu de vraies familles, comme autrefois, avant de replonger dans le cloaque de cette multisociété civile malade, troupeau bêlant au son d'une télé débile aux ordres de quelques personnages sans honneur, que seule intéresse la réussite de leur médiocre carrière politicienne. Ils veulent tout détruire autour d'eux pour paraître moins dérisoires. Famille, patrie, valeurs ancestrales leur font horreur. Ils ont semé la haine pour se faire élire, et bientôt nous récolterons la violence. Nous n'y échapperons plus. C’est déjà commencé. Ils en ont lourd sur la conscience !

dimanche 6 juillet 2014

Être “de droite“ ou “de gauche“ ?


Un interlocuteur ami de Facebook me fait l’honneur de me poser cette question :
« La Droite revendique sa catholicité sans complexe, ce qui est plutôt bien, par contre il semble plus délicat de dire que l'on croit en Dieu lorsque l'on est de gauche… Pourquoi ? »
Qu’il me permette d’y répondre par la voie de ce blog plus personnel.
La question semble faire un a priori du statut d'homme (ou de femme) “de droite“ (avec majuscule) ou “de gauche“. On serait avant tout "de droite" ou "de gauche", comme on est grand ou petit, brun ou blond. Et de cet état naturel découlerait une plus ou moins grande aptitude à la spiritualité. Or, on ne naît pas "de droite" ou "de gauche", même si le milieu social dans lequel on a grandi contribue bien sûr à cette orientation politique. J’ai moi-même pris conscience de ce choix dès l’âge de huit ans. La Libération venait de permettre les premières élections après l’occupation allemande. C’était quand même il y a 70 ans ! Mon père, me regardant, mais se parlant finalement à lui-même, dit : « je me demande bien pour qui je vais voter ». Dans ma candeur d’enfant, croyant que socialisme voulait dire altruisme, souci du prochain. Je murmurai : « socialiste ? ». J’entends encore sa réponse, un cri : « ah, ça ! jamais ! ». Comme quoi, si l’histoire ne repasse pas les plats, elle sert quand même toujours la même cuisine. 
Quant à définir ce qu'est être "de droite" ou "de gauche" (en France), je crains qu'il ne s'agisse-là que d'un classement artificiel inventé et mis en oeuvre par des politiciens professionnels ambitieux aux seules fins de se constituer des troupes de militants.
Cela dit, y a-t-il une corrélation avérée entre cet autoclassement politique et une disposition naturelle à la spiritualité ? La question posée fait un amalgame entre la "catholicité" des uns et la croyance en Dieu des autres. Ce n'est pas la même chose. On pourrait poser la question ainsi : les chrétiens catholiques sont-ils plutôt "de droite" ou "de gauche" ? J'aurais tendance à répondre : les chrétiens que l'on massacre en ce moment par milliers à Mossoul et ailleurs, sont-ils “de droite“ ou “de gauche“ ? La question pourrait aussi être : est-il plus facile de déclarer sa foi quand on se dit "de droite", que lorsque l'on se dit "de gauche" ? Elle sous-tendrait alors l'idée qu'il y aurait dans notre pays, comme une dictature de la pensée, qui pousserait les croyants à se cacher. Et que cette tyrannie des lobbies s'exercerait plutôt dans les milieux "de gauche". Est-ce ce que mon interlocuteur ressent ? Alors, je veux lui répondre ceci :
La foi n'a que faire du classement politique des Français. Elle s'offre indifféremment à tous ceux qu'une rencontre, un jour, a éclairés. La foi n’est pas la croyance qui, elle, ne relève que de l’activité cérébrale. La foi ne se démontre pas. Elle est une connexion, qui s’établit en chacun avec le tréfonds de soi-même, au-delà de la raison, au-delà des neurones, au-delà de la seule dimension matérielle de notre condition humaine. Les chrétiens appellent cela une communion. Tout le monde y a droit. Il suffit de s’y ouvrir.