samedi 29 juillet 2017

Intégration

Si l'on en croit certains témoins, les terroristes de Paris étaient très jeunes. Ils sont sans doute des petits casseurs de banlieue entraînés et drogués par les meneurs de Syrie. Ainsi s'expliquerait, au passage, l'incompréhensible (mais heureux) comportement des kamikazes qui ont fait sauter leur ceinture d'explosifs hors de leurs cibles. Ils étaient drogués. Ils devaient aller là et appuyer sur le bouton. Ils n'ont pas pu entrer. Ils étaient biologiquement incapables de réfléchir. Ils ont appuyé.
Ces terroristes-là sont nés en France, parfois de deuxième génération. N'est-ce pas un énorme aveu d'échec de l'immigration programmée ? Or, derrière le problème, il y a l'islam. Pourquoi ces jeunes, laissés en déshérence, coutumiers jusqu'alors des coups de force en bandes contre l'État, s'enrôlent-ils désormais sous la bannière du Dieu de leurs parents ? Parce qu'ils n'ont aucune culture de l'islam. Ils s'approprient ce qu'ils sont incapables de comprendre. Qu'ont-ils trouvé au sortir de leur poussette ? Un pays chrétien. Un langage issu du Grec, fait pour véhiculer une pensée occidentale tout en nuances. Car, une religion, et la culture qui en découle, c'est d'abord une pensée. Pensée complexe qu'il s'agit d'exprimer. Notre culture a forgé au fil des temps, l'outil langage qui permit de transmettre la profondeur subtile de la pensée du Christ. C'est cela, une culture chrétienne. Or, c'est à l'aide de ce langage-là que les jeunes en question ont approché le Coran de leurs ancêtres. Mais, le Coran ne se lit pas avec cet outil-là. En arabe, oui veut dire peut-être, peut-être veut dire non. Seule, la langue arabe historique est à même de déchiffrer la pensée du Coran, tout en imprécations, interdits et anathèmes. Lue avec notre langage, elle n'exprime que l'incohérence d'appels au meurtre mêlés à une mystique exotique déconcertante. Et chacun y prend ce qu'il veut. Les jeunes en question y ont trouvé la justification de la haine qui les anime. 
L'évidence s'impose. L'islam est incompatible avec notre pensée. On peut vivre en occident en marge de toute spiritualité. C'est même le génie de ses institutions : Dieu, d’une part, et César, de l’autre. Mais, si l’on a besoin de Dieu, c’est l'appel du Christ que nous transmet notre culture, notre histoire, notre langage. L'islam n'est pas soluble dans la culture judéo-chrétienne. N’en déplaise aux apprentis sorciers du multiculturalisme, s’il faut intégrer les “jeunes”, ce ne peut être que dans notre culture chrétienne, sinon, ce n’est pas intégrer, c’est désintégrer, c’est composer sciemment un mélange explosif.
Ceux qui ont fait entrer de force le Coran pour contrer la Bible, ceux qui ont programmé le remplacement de population pour préserver leurs intérêts électoraux, ceux-là portent la lourde responsabilité du sang qui coule, et qui va couler.

jeudi 27 juillet 2017

Français de souche


Je lis, dans le dictionnaire de l'Académie française cette définition du mot race : "Se dit aussi d'un groupe d'individus qui se distingue d'autres groupes par un ensemble de caractères biologiques et psychologiques dont on attribue la constance, non pas à l'action du milieu, mais à une lointaine hérédité. La race caucasienne. La race mongole. La race juive. Une race pure. Une race métissée".
Donc, il y a des races. Ouf ! On avait fini par croire que cela n'existait pas. Je me demandais, en effet, depuis un certain temps, comment on pouvait définir un juif, par exemple, en s'affranchissant du concept de race. Ceci étant, il est vrai qu'aujourd'hui, le brassage de l'humanité fait que lesdites races sont en train de se métisser, sauf celles pour lesquelles le sentiment d'appartenance quasi religieux est si fort qu'elles s'autoprotègent contre cette dilution. Certains, aimant remplacer les mots par d'autres pour se donner l'illusion d'un progrès, ont rendu incorrect le mot race, se contraignant à en trouver un autre. On parle dès lors de souche. Voilà qui change tout ! Donc, il y a des souches ! Pour autant, parler de Français de souche est en effet infondé. Il faudrait parler de Français de souches (au pluriel), car les souches en question sont bien antérieures à la création du territoire national. Si l'on veut trouver un dénominateur commun aux Français contemporains, ce n'est donc peut-être pas dans la notion de souche ou de race qu'il faut le chercher, mais autour du concept beaucoup plus clair d'Histoire. À Français de souche, je préfère le terme de Français historique. Des Français dont l'hérédité, pour reprendre le mot du dictionnaire, s'enfonce dans une histoire suffisamment profonde pour se distinguer du seul label de Français administratif.
Il se trouve que je suis né en Bretagne ; que mon père et ma mère y sont nés ; que mes quatre grands-parents y sont nés et y ont vécu ; et qu’avant eux je peux remonter, noms à l’appui, onze générations d’ancêtres bretons jusqu’au milieu du XVIe siècle, époque qui vit l’annexion du Duché de Bretagne par le roi de France. Avant, je ne sais rien, car les archives ont été détruites lors des guerres de religion, mais on imagine mal que mes deux mille aïeux de l’époque, qui m’ont légué sans le savoir un peu de leur ADN, soient tous tombés du ciel ou issus de l’immigration.
Ceci, Messieurs les censeurs, me donne-t-il le droit de me prétendre Breton de souche ? Et Français de souche par extension, puisque la Bretagne est devenue française ? Supposons que oui. Dès lors, qu’est-ce qui me fournit ce label ? Ma naissance en Bretagne ? Mais, si j’étais né à Strasbourg au gré des affectations militaires de mon père, pourrais-je me prétendre Alsacien ? Certes non ! Il faut donc bien d’autres critères pour revendiquer une souche : un sol, sans doute, mais aussi des ancêtres sur ledit sol. Reste la question : à partir de combien de générations sur un même sol peut-on prétendre à une souche ?
On dit que tous les Français sont des immigrés. Oui, un jour, forcément, ils l'ont été ! En ce qui me concerne, cela semble remonter au VIe ou VIIe siècle, quand les populations celtiques de l'île de Bretagne émigrèrent en Armorique, chassés par les invasions des Angles et des Saxons. Ces immigrés-là s'intégrèrent aux indigènes bretons, descendants eux aussi des migrations celtes d'Europe centrale, cinq siècles avant Jésus-Christ. La plus ancienne grand-mère, issue de ces deux souches d'aïeux, que j'aie retrouvée aurait près de 500 ans aujourd'hui. Onze générations ont ensuite conduit ses gènes bretons jusqu'à moi. Cela ne vous suffit pas, comme souche ? J'en ai fait un livre :
https://sites.google.com/site/idfranceloire/catalogue/bernard-huet-francais-de-souche


mardi 11 juillet 2017

Du climat et de l'immigration…



Selon notre nouveau président, on ne peut pas “prétendre lutter efficacement contre le terrorisme si on n’a pas une action résolue contre le réchauffement climatique”…? Sans doute, mes gènes terriens (de souche) m’empêchent-ils d’accéder à cette haute pensée elliptique. Faut-il comprendre que, le réchauffement climatique étant, paraît-il, l’effet de notre pollution automobile, le terrorisme islamique : c’est la faute au gas-oil ? Le président nous laisse-t-il entrevoir la mise sur pied d’une redoutable armée d’éoliennes pour combattre victorieusement l’islamisme guerrier ? Heureusement qu’en France nous avons désormais Hulot au gouvernement ! Car, alors, la fermeture de nos centrales nucléaires va certainement en fiche un coup décisif aux terroristes ! Allez ! Trêve de plaisanteries ! Je crois bien que, cette fois, à vouloir voler au ciel, nous touchons le fond. 
Je ne sais si ce président n’a pas, en réalité, perçu une étincelle du problème qu’il n’a pas su interpréter ni exprimer. Ce qu’il fallait dire, c’est que l’invasion migratoire qui nous submerge ; par delà l’exploitation islamiste odieuse qui en est faite par des pseudo musulmans ivres de sang ; par delà également la complicité sans doute active des intérêts pétroliers en récession ; est née dans — et de — la misère des peuples africains, affamés par leur climat, par leur natalité exponentielle, et par leurs despotes souvent. Ce qu’il fallait dire, c’est qu’il faut dès lors aller combattre sur place cette situation climatique, sociale et politique. L’essor de l’humanité s’est toujours fait à partir des sources d’énergie. Énergie animale, jadis. Énergie électrique aux siècles derniers. Il faut aujourd’hui aller fournir, sur place, à ces populations l’énergie abondante qui les fera s’industrialiser, se sédentariser, s’organiser. L’enjeu est énorme, et bien entendu bien au-delà de l’échelle des solutions écologiques politiques du moment. Or, il y a dans tous les atomes de tous les grains de sable du Sahara plus d’énergie qu’il n’en faut pour nourrir, vêtir et instruire toute l’humanité. Nous avons les chercheurs, les ingénieurs, les techniciens qui maîtrisent suffisamment les premiers savoir-faire pour lancer dès aujourd’hui les investissements de ce plan mondial ambitieux. Ensuite, il faut travailler ferme à maîtriser les nouvelles technologies à l’étude, afin qu’un jour, les dix milliards d’êtres humains qui peupleront la Terre ne crient plus famine. 

vendredi 7 juillet 2017

L'Europe menacée

Plus j'y réfléchis, plus je pense que Daech, Al Qaida, etc. ne sont pas nés par hasard. En une époque où la fin du pétrole semble inéluctable, soit par assèchement des réserves, soit par l'avènement, enfin, de l'électrique, et donc du nucléaire, c'est de la survie des États arabes qu'il s'agit. Croit-on que ceux-ci vont se regarder mourir sans réagir, et retourner à leurs origines de bédouins ? La colonisation de l'Europe est leur seule issue. Leur plan se déroule. Et l'Europe ne voit rien venir. Elle n’a pas de chef qui puisse organiser sa défense. Ella n’a que des bavards. L’histoire dira que ce ne sont pas les royaumes arabes qui sont morts de la fin du pétrole, mais l'Europe !

lundi 3 juillet 2017

Immigration

Eh bien, parlons des immigrés, puisque personne n'ose en parler ! Ce dimanche, dans la basilique de Tours, se clôturait l'année saint Martin. Immense Français que ce Martin... né en Hongrie, d'un père Italien ! Il y a 1700 ans, les Tourangeaux ne s'y trompèrent pourtant pas, qui en firent leur évêque. Alors oui ! Il y a peut-être aussi des saints parmi les immigrés de 2017. Ou, tout simplement des pécheurs, comme vous et moi. Seulement, ceux-là n'entrent pas en France avec une ceinture d'explosif sous le burnous ! Alors, où est le problème ? Il n'est pas dans l'immigré. Il est dans le terroriste ! Et, ce n'est pas en niant ce fait que l'on va le régler. Pour cela comme pour tout, le politique contourne les problèmes au lieu de les résoudre. Le courage, c'est de faire le tri. D'accueillir les uns, de chasser les autres. Mais, voilà ! La lâcheté du politiquement correct, la bêtise de la pensée unique, s’y opposent. Si le nouveau président sait faire ce tri, alors j'accepterai de lui rendre hommage. Reste que, ce tri étant fait, l’Europe ne pourra de toute façon pas accueillir tous les Africains. Que faire ? Eh bien ! nous installer, à notre tour, chez eux pour en industrialiser le continent ! Cela y sédentarisera les populations, bloquera leur émigration, et résoudra en même temps notre problème du chômage. Les Chinois le font bien ! Mais, j’entends déjà chez nous les cris d’orfraie de la bien-pensance écervelée. C’est du colonialisme ! D’une part, si ledit colonialisme européen avait été poursuivi, les populations affamées d’aujourd’hui ne seraient pas dans cette situation ; d’autre part, aller porter à ces peuples notre savoir et nos moyens n’est pas du colonialisme, mais de l’altruisme. Mais, je rêve. Nous n’avons pas la pointure de dirigeants pour faire cela.

samedi 1 juillet 2017

La musique

Monsieur Lang qui a inventé la fête de la musique, prisonnier de son épicurisme sans issue, ne pouvait pas savoir que la plus sublime des musiques est le silence. C'est dans le silence total de l'oreille que l'âme entend l'au-delà. J'aime ce silence-là, dans la pénombre d'une église déserte, que seul meuble parfois l’infime bourdonnement des cierges incandescents. Alors, à travers ces lumière de prière abandonnées là, retentissent tout à coup, comme dans un rêve fiévreux, les trompettes de la foi.