mardi 25 octobre 2011

Quand l'Église catholique éclaire le monde de la finance :


Pour tous ceux que la crise financière mondiale déconcerte, le Vatican montre le chemin dans un texte à lire dont voici un
extrait de la présentation dans Le Figaro du 25 octobre 2011 :

« Loin de la démondialisation, l’Église catholique veut… plus de mondialisation. Mais une mondialisation économique et financière maîtrisée afin de résoudre la nouvelle question sociale (Plus d’un milliard de personnes doivent survivre avec un revenu moyen inférieur à un dollar par jour).
Le Vatican a donc proposé hier la création d’une sorte de banque centrale mondiale visant à établir à terme un véritable système de gouvernement de l’économie et de la finance internationale.
Le texte propose un contrôle monétaire mondial avec trois mesures prioritaires : la taxation des transactions financières pour créer une réserve mondiale destinée à soutenir les économies des pays touchés par la crise ; la recapitalisation des banques avec aussi des fonds publics, mais à la condition de comportements vertueux ; la séparation entre banques de crédit ordinaire et banques d’investissement. »

dimanche 16 octobre 2011

Isaïe


Ainsi parla Dieu, vers 539 av. J.-C., à Cyrus le Grand, empereur des Perses, afin qu’il libère les Judéens exilés à Babylone et reconstruise le temple de Jérusalem.
« Je t’ai désigné quand tu ne me connaissais pas. (…) 
Je t’ai ceint quand tu ne me connaissais pas,
afin que l’on sache, du levant au couchant,
qu’il n’y a rien en dehors de moi. »
(Isaïe 45, 4-6)

vendredi 14 octobre 2011

Famine


Une demi-page dans Le Figaro de ce jour, sous le titre “Comment nourrir 9 milliards d’hommes en 2050 ?“.  Et cette introduction : « Un milliard de personnes souffrent de la faim dans le monde. (…) Qu’en sera-t-il en 2050 quand il faudra nourrir 9 milliards de bouches, contre 7 aujourd’hui ? »
Enfin un sujet essentiel, je m’y précipite. Hélas ! Pas un début de solution, sauf « la lutte contre les pertes et le gaspillage », en n’oubliant pas de préciser « sans dégrader l’environnement et sans augmenter la surface des terres arables au risque de mettre en péril la biodiversité » !
C’est avec ce langage convenu, rabâché à la suite de la pensée à la mode sur les trottoirs de Paris, que l’on va sauver le milliard d’affamés d’aujourd’hui, et les deux milliards de nouveaux venus qui s’y ajouteront !
Si nos ancêtres se nourrissaient jadis de cueillette, ils ont pu surmonter une première fois leur inflation démographique en apprenant à domestiquer l’énergie, l’énergie animale en ces temps. Si leurs descendants ont pu survivre à nouveau à l’ère industrielle, c’est parce qu’ils ont appris à domestiquer la vapeur. Et puis, il y a eu l’énergie du pétrole. Et aujourd’hui ? Il est temps, si l’on veut faire face au défi considérable qui se profile, d’apprendre à notre tout à domestiquer une source nouvelle d’énergie, à la hauteur de l’enjeu.
Ce ne sont pas les gadgets éoliens à la mode dans l’occident nanti qui vont résoudre le problème posé pour en Asie, en Inde, en Afrique. 
La source d’énergie du futur, des millénaires futurs, existe. Suivez mon regard. Il faut seulement fermer la télé et ouvrir les yeux.