La polémique actuelle sur l’aspect moral ou immoral du vaccin contre le Covid-19 tourne autour du fait que l’ARN messager injecté est produit par des cellules cultivées à partir de tissus provenant de fœtus humains jadis avortés. Je n’entrerai pas dans ce débat, n’en ayant pas la compétence, mais, qu’il me soit permis de m’arrêter sur un autre aspect du problème. La science a besoin, pour développer ses technologies de thérapie génique révolutionnaires et probablement principales thérapeutiques d’avenir, de cultiver la vie pour en extraire les ADN, et en injecter aux corps malades les instruction génétiques idoines dites ARN. Or, elle a appris, et elle sait désormais cultiver, c’est-à-dire, reproduire cette vie. Pourquoi pensé-je alors à cette injonction divine : « Dieu dit : voici que l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Maintenant, qu'il n'avance pas sa main, qu'il ne prenne pas aussi de l'arbre de vie, pour en marger et vivre éternellement » (Genèse III,22). L’homme a-il aujourd’hui commencé à « manger le fruit de l’arbre de vie » ? Saura-t-il bientôt « en vivre éternellement » ? Alors, s’abattrait sur lui la colère de Dieu. Mais, nous n’en sommes pas là, Dieu soit loué ! La science découvre à son grand dam qu’elle ne peut pas, et ne pourra sans doute jamais créer la vie. Elle sait la cultiver. C’est déjà beaucoup. Mais, elle a besoin, pour cela, de partir d’une vie préexistante, les fameux fœtus initiaux qui créent la polémique en question. La vie semble bien ne pas naître ici-bas, mais nous nous être livrée d’un au-delà de la matière, d’un au-delà de l’espace et du temps. Tout semble confirmer que le phénomène de la vie est transcendant, qu’il a son origine en des confins inaccessibles, un "Au-delà" que la science ne veut pas regarder, mais qu’elle découvre pourtant, jour après jour, dans ses labos toutes disciplines. Mais alors, si la vie transcende notre univers temporel à l'extrémité de la naissance, elle le transcende aussi à l'extrémité de la mort !
jeudi 31 décembre 2020
jeudi 24 décembre 2020
Noël 2020
Ce soir, des milliers de personnes qui ne fréquentent les églises que pour la messe de minuit, découvriront ce qui est, depuis quelques dimanches, coutumier pour les chrétiens pratiquants. Ils se passeront les mains au gel hydro-alcoolique, au lieu de se s’offrir mutuellement l’eau bénite. Ils déploreront sans doute de devoir rester debout quand un siège sur deux est laissé obligatoirement vide, et un rang sur deux inaccessible. Ils chanteront, s’ils chantent, à travers leur masque. Ils communieront, s’ils communient, par dessous le masque. Ils seront privés de la poignée de mains, pour certains tant attendue, du signe de la paix.
De quoi gâcher la fête ! Car la messe de minuit fait partie de la fête !... Mais, quelle fête ? La fête de la famille, diront certains. Ou bien, la fête des enfants, avec le père Noël. D’autres évoqueront, plus précisément, l’anniversaire de la naissance de Jésus.
Rien de tout cela ! Ou pas seulement cela ! Noël, pour les chrétiens, fête le "surgissement" de Dieu dans sa Création ! Rien de moins ! Comprendre cela fait trembler, non pas d’effroi, mais de bonheur. Ne pas le comprendre enlève tout sens à "la fête". Cet évènement inouï n’ôte rien à la Résurrection tout autant surnaturelle de Pâques, mais au contraire, la prépare. Surgi une première fois parmi les hommes du sein d’une vierge, Dieu surgit une seconde fois du tombeau. "Resurgir", n’est-ce pas une "résurrection" ? Pâques, bientôt, légitimera Noël. Aujourd'hui, Noël rend Pâques digne de foi.
lundi 23 novembre 2020
Les espiègleries de la langue française
- …être gris en forçant sur le rouge ?
- …être noir en buvant du blanc ?
- …être cuit en buvant un cru ?
- Pourquoi, en voiture, pile-t-on pour ne pas écraser ?
- Comment une idée fixe peut-elle trotter dans la tête ?
- … de quelqu’un qui barbe, qu’il rase ?
- …se taper la cloche en mangeant du fromage ?
- Comment un clochard peut-il se taper la cloche ?
- Comment peut-on tendre l'oreille lorsqu'elle est dure ?
- … créer un bouchon quand il s'agit d'un embouteillage ?
- …se mettre à table, après avoir été cuisiné ?
- …blanchir de l'argent en travaillant au noir ?
- …être tellement avare qu'on ne prête même pas attention aux autres ?
- Pourquoi appelle-t-on faisan celui qui plume les autres ?
- Pourquoi appelle-t-on rentrée littéraire la sortie des livres ?
- Pourquoi a-t-on un bleu quand on reçoit un marron ?
- pourquoi dit-on de celui qui mène ses affaires rondement, qu’il y va "carrément ?
- Pourquoi écrit-on "vingt et un", et "soixante et onze", et non pas " soixante-dix et un" ?
Combat pour la survie
Je me demande quand même, si la meilleur façon de contrer l’islam sur notre sol n’est pas de donner l’envie du christianisme. J’entends déjà les hurlements des laïcards bornés. Mais, n’avez-vous donc pas compris que c’est parce que vous avez combattu le Christ que le prophète des musulmans veut prendre la place ? Au temps de ma jeunesse, les chrétiens ne se cachaient pas. Les offices religieux étaient nombreux et fervents. Les messe et les vêpres réunissaient les familles entières. Les sorties donnaient lieu à de longues palabres autour de l’église. Le garde-champêtre venait même y lire les arrêtés des autorités. Les processions chantantes étaient fréquentes vers les lieux saints des alentours, En Bretagne, on les appelait des pardons. Croyez-vous que, face à un tel contexte social, l’islam se serait aventuré comme aujourd’hui ? Vous avez voulu faire le vide spirituel. La nature a horreur du vide, disait Aristote. D’autres prétendent le combler. Alors, chrétiens, occupons le terrain ! Montrons nous ! Chantons! Défilons! Prions ! Et que cela s’entende au bout du monde ! Ainsi provoquerons-nous l’envie de savoir, l’envie de comprendre, l’envie d’en être.
Mais, il y a plus grave. Ce n’est pas seulement une religion qui cherche à prendre la place d’une autre, c’est une civilisation, le Moyen-orient pétrolier, qui veut l’Europe. Pourquoi ? Parce que l’ère du tout pétrole se termine, c’est désormais un fait acquis. Les proches ancêtres des populations de ces pays étaient des bédouins, des nomades du désert, pauvres et laborieux. Le pétrole leur a jailli sous les sandales, ils sont devenus immensément riches. Or, les réserves s'épuisent. Ne comptez pas que ceux-là reviennent à leurs troupeaux. Ils veulent l’Europe. Ils ont l’argent pour l’acheter. Ils l’ont déjà achetée en partie grâce à l’impéritie coupable de nos dirigeants. Il va leur être facile de ramasser maintenant le pouvoir politique et financier. Alors, nous travaillerons pour eux. Mais avant, il leur faut préparer le terrain religieux, et remplacer le christianisme par l’islam. Ils s’y emploient. La boucle est bouclée. Nous comprendrons peut-être un jour ce qui se passe. Il sera trop tard.
lundi 16 novembre 2020
"Ceci est mon corps…"
La messe n’est ni un spectacle, ni un repas. Le sacrement de l’Eucharistie ne se dissocie pas. Le miracle, chaque fois renouvelé, de la présence réelle du Christ sous les espèces du pain et du vin rend nécessaire la participation active et conjointe du prêtre officiant, et du fidèle communiant. Organiser l’un sans l’autre, c’est attenter à la liberté de culte.
On ne peut pas comprendre ce mystère si l’on n’entre pas pleinement dans le triptyque sacré de la Cène. Trois paroles majeures de Jésus fondent définitivement le christianisme :
- 1°) « Ceci est mon corps, ceci est mon sang ».
- 2°) « Prenez et mangez (buvez)-en tous ».
- 3°) « Vous ferez cela en mémoire de moi ».
1°) À qui s’adresse Jésus ? À l’évidence, pas seulement à ses douze disciples. Toute la vie publique du Christ est tournée vers l’humanité entière. Ce n’est pas au seuil de la mort terrestre qu’il va restreindre son propos à ses amis proches. Son ambition n’était pas de bâtir son Église pour le temps de vie des apôtres. Donc, c'est face au monde entier présent et futur, que, par l’expression d’une volonté divine : « ceci est mon corps, ceci est mon sang », il réalise une le miracle de s’identifier à la nourriture qu’il va partager, et ainsi d’entrer, par elle, dans le corps de chacun des douze qui deviendront ainsi un peu de lui. Pourquoi fait-il cela ? Pour se dupliquer dans les douze personnes présentes afin qu’après sa mort, qu’il sait imminente, son œuvre continue. Pour signifier également que, si la nourriture sert à alimenter la vie d’ici-bas, cette vie n’est que la vision qui nous est offerte d’une autre vie qui, elle, immatérielle, spirituelle, a comme nourriture lui-même, le Christ, Esprit du Père. Si l’on réfute ce miracle immense, prodigieux qui eut lieu voici deux mille ans, rie du reste n’a de sens.
2°) Mais, pour que le miracle ait lieu, il faut que chacun des présents accepte de revêtir de sa peau le corps du Christ entré en lui. Le miracle est interactif. Jésus ne force personne à être son disciple, mais il pose clairement la condition de réussite : si vous voulez être mon disciple, « prenez et mangez ». Et, ce commandement, à travers les douze, c’est au monde entier qu’il le donne. Sans cette deuxième parole, la première devenait sans effet.
3°) Voilà donc douze apôtres, nourris jusqu’au tréfonds de leur être par la personne de Jésus entrée en eux, et en mesure, dès lors, d’aller à travers le monde répandre la parole du Christ, mais aussi munis du pouvoir de sauver les corps et les âmes. Or, ces apôtres mourront un jour ! Et Jésus sait qu’ils seront tous martyrs de leur engagement. Il lui faut donc organiser l’avenir. Ici entre en jeu le troisième volet du triptyque : Jésus révèle à ses douze apôtres qu’en acceptant sa présence en eux, ils ont aussi acquis le pouvoir de transférer à leur tour cette présence divine à leurs successeurs, et ainsi de suite. « Vous ferez cela en mémoire de moi » ne veut pas dire « vous mangerez ce pain en mémoire de moi », mais « le pain et le vin que vous offrirez à votre tour sera encore et toujours mon corps et mon sang ».
Formidable découverte qui nous fait comprendre tout-à-coup ce qui se passe quand le prêtre consacre la sainte Hostie : il réitère ce que jésus a fait il y a deux millénaires, grâce au pouvoir qui lui en a été transmis au fil des siècles par la volonté du Christ. Oui ! l’Hostie consacrée aujourd'hui reste toujours et encore le corps du Christ !
Ainsi sont les trois paroles fondatrices de l’Église du Christ.
dimanche 8 novembre 2020
La messe ne se « regarde » pas...
La première, anecdotique, mais sincère, est que le média télévision est tellement sali par les excès de manipulation mensongère des chaines publiques françaises, qu’y présenter la sainte Hostie me fait l’effet d’un sacrilège.
La seconde, fondamentale, est qu’une messe ne se « regarde » pas. Une messe n’est pas un spectacle ! La messe est un acte de foi que le fidèle accomplit par la communion, dans l’Eucharistie, sous l’intercession du prêtre officiant. Le sacrement de l’Eucharistie est un mystère interactif, qui requiert la présence physique du recevant pour que se réalise la présence physique du Christ qui se donne. Il faut avoir vécu une fois au moins cet instant sublime de l’entrée du Christ en soi, pour comprendre ce qu’à voulu dire Jésus : « Ceci est mon corps. Prenez et mangez en tous. Vous ferez cela en mémoire de moi ».
mercredi 21 octobre 2020
« Tapuscrit »...!
Je ne sais qui a inventé ce mot, mais il est stupide, en plus d’être laid. Au prétexte qu’un manuscrit est écrit à la main, il deviendrait "tapuscrit" s’il est tapé à la machine ? Mais alors, s’il est écrit à la plume, faut-il dire un "pennuscrit" ? Et nos aïeux qui gravaient leurs œuvres sur des tablettes d’argile faisaient-ils des "gravuscrits" ? On pourrait continuer avec les "bicuscrits" du célèbre baron… Et puis, les moyens modernes permettent aussi de dicter son livre à son smartphone ; alors, "dictuscrit" ?
La vérité est que le substantif "manuscrit" désigne l’original de l’œuvre écrit "de la main" de l’auteur, et non pas "avec sa main" (sauf à tremper l’index dans l’encrier)... Un écrivain écrit avec sa pensée. Sa main et les outils qu’elle tient n’ont rien à voir dans l’affaire. Le "manuscrit", dès lors, c’est-à-dire l’original, s’oppose aux copies qui en seront faites ensuite par le miracle de l’imprimerie, et désormais de l’électronique.
Chers auteurs, proposez votre manuscrit à ID FRANCE LOIRE Éditeur (en ficher électronique bien entendu). Il sera lu rapidement et avec un peu de chance...
vendredi 2 octobre 2020
Écologie dogmatique
Il est du dernier chic de déclarer que l’on refuse toute religion parce que l’on ne veut pas obéir à des dogmes. C’est même le crédo de la libre-pensée. Mais, quand on confond la Terre, immense à l’échelle humaine, avec la planète fictive du petit prince de Saint-Exupéry, n’est-ce pas obéir à un dogme ? Quand on refuse de faire bénéficier nos enfants de l’énergie inépuisable contenue dans tout atome de matière, et que l’on vénère en remplacement l’énergie fictive des gadgets éoliens et autres, n’est-ce pas obéir à un dogme ? Quand on prétend faire vivre désormais, et pour des générations, tous les citadins sur une selle de vélo, n’est-ce pas obéir à un dogme ? Quand on récrimine contre les technologies nouvelles des transmissions sans rien en connaître, n’est-ce pas obéir à un dogme ? Quand on veut imposer aux autres sa façon de manger qui n’a rien de naturelle, n’est-ce pas obéir à un dogme ? Etc. On pourrait continuer sans fin sur le sujet. L’écologie politicienne est bourrée de dogmes. Ils refusent toute religion par orgueil, mais comme l’homme est ainsi fait qu’il ne peut pas vivre sans religion, ils s’en inventent une plus dogmatique encore. Ils me font penser à nos crétins d’aïeux qui avaient essayé de tuer Dieu pendant leur révolution, puis l’avaient remplacé par "l’être suprême".
lundi 21 septembre 2020
Comment la France en est arrivée là !
Il faut remonter à la colossale secousse qui a ébranlé irréparablement l’édifice, la guerre de 39/45. La France, en 45, est passée tout près de la partition comme l’Allemagne. De Gaulle a pu l’éviter. La haine habitait les Français résistants parfois autoproclamés, contre les collabos parfois innocents. De Gaulle, encore, les a réconciliés au prix d’une victime expiatoire dont le sang coule encore. En 1945, il n’y avait pas une famille de France qui n’eût subi le malheur parmi les siens, soit sous la botte des SS, soit sous les bombes des libérateurs. Or, on oublie un peu vite que nous sommes les rescapés de ce désastre.
Les couples en âge de procréer qui, alors, avaient échappé au malheur, ou bien ceux que l’euphorie de la Libération faisait créer des foyers neufs, voulurent des enfants en nombre auxquels ils offriraient le bonheur qu’eux n’avaient pas reçu. Ils élevèrent leurs progénitures comme des demi-dieux en scandant « plus jamais ça » ! Plus aucune contrainte ! Plus aucune contrariété ! L’enfant roi ! Faut-il le leur reprocher ? Il faut ne pas mesurer ce qu’ils ont subi pour ne pas les comprendre.
Vingt-trois ans après, nous sommes en 68. Les bambins du baby-boom sont en fac ou entrent dans la vie active, et découvrent tout à coup que ladite vie n’est pas ce que leurs parents leur ont raconté. La vie est bel et bien un combat. La sélection des meilleurs est impitoyable. Les contraintes, les interdictions se dressent partout. Devant cette découverte, deux attitudes sont possibles : ou bien admettre que l’on a fait fausse route, reprendre tout à zéro, et se battre. Ou bien hurler, casser tout, dépaver le Boul-Mich et brûler des voitures. C’est ce que la chienlit estudiantine, comme disait le général, choisit de faire. Les syndicats de gauche, toujours à l’affut de ce qui peut détruire le pays emboîtent le pas. La France est bloquée. Le général s’enfuit, ou fait mine de s’enfuir ; l’Histoire dira peut-être un jour ce qu’il en fut.
1968 fut la première secousse en retour du séisme de 45. Mais, il ne faut pas le dire... C’est politiquement incorrect. Car la bien-pensance veille encore, qui protège le mythe d’un 68 révolutionnaire qui aurait fait avancer le monde. Non, 68 ne fut pas glorieux ! Tout au plus fut-il la réaction puérile et peu courageuse d’enfants gâtés contrariés. Pompidou parvint à stopper les exactions au prix de concessions universitaires et syndicalistes qui se révéleront plus néfastes qu’heureuses pour les intéressés eux-mêmes.
Les héros dépaveurs se répandirent alors dans la société remise au travail. Oh ! Pas dans les entreprises de ces patrons tant conspués sur les barricades de pacotille ! La moquette douillette des ministères sera plus adaptée. L’Éducation nationale, par exemple. Le temps de faire le tour du propriétaire, et à partir des années 80, les enfants des Français leur sont confiés. Et voilà comment une génération au moins de jeunes Français sortirent de l’école, convaincus que le travail n’était pas une nécessité ; que la triche et le mensonge remplaçaient désormais la probité ; que la famille devait être détruite au profit des partenaires sexuels ; que les ancêtres ne méritaient pas le respect ; qu’euthanasier les vieux et les malades était chose normale ; que l’embryon humain était un objet chose que l’on pouvait acheter, puis jeter ; que les générations à naître n’avaient qu’à se débrouiller ! Or, ces jeunes des années 80 sont aujourd’hui des quadras, et constituent une partie importante des actifs du pays, de ceux qui votent et de ceux qui font les lois. Voilà qui explique le désastre actuel des idées neuves. Ce nouveau sinistre est la seconde secousse en retour du séisme de la dernière guerre mondiale. Il laisse la France de l’esprit en ruines.
Et maintenant ? Les anciennes générations encore attachées aux valeurs ancestrales qui ont construit la nation quittent la scène les uns après les autres. Heureusement, nombreux restent ceux qui ont su résister à la "déséducation" nationale et transmettre à leurs enfants les fondements solides de la vraie société. Or, on croit toujours que les choses sont figées en l’instant présent, et que ce sont elles qu’il faut changer. Mais, elles changent toutes seules ! Chaque jour, une nouvelle tranche d’âge pousse les autres vers la sortie en apportant un sang nouveau. Tout l’avenir de la France réside donc maintenant dans la dilution de la chienlit post-soixante-huitarde. Elle se fera. Les années passent vite. Plus vite qu’on ne croit !
dimanche 6 septembre 2020
IVG…IMG…PMA…GPA…etc. Sommes nous devenus des barbares ?
Nous sommes décidément tombés bien bas ! Avons-nous touché le fond de l'abomination ? Ou le pire est-il encore à venir ?
Nous massacrons, désormais en toute légalité. l'être humain par les deux extrêmes : les embryons et les vieillards,
- Nous avons le droit de vie et de mort sur tout être humain qui n'a pas atteint l'âge de 12 semaines.
- Nous venons d'ajouter le droit de tuer les bébés dans le ventre de leur mère jusqu'à l'heure de leur naissance, pour raisons dites de "détresse psychosociale". Terme hypocrite qui peut inclure tout ce qu'on veut. Pour compléter cette hypocrisie, nous déclarons qu'alors il ne s'agit pas d'interruption volontaire de grossesse (IVG), mais d'interruption médicale de grossesse (IMG). Cela change tout !
- Nous autorisons les expérimentations de laboratoire sur lesdits embryons provisoirement épargnés. Expériences qui pourront aller jusqu'à la tentative de fabrication d'embryons chimères, monstres mi-homme, mi-animal.
- Nous avons rendu obsolète la notion d'amour en remplaçant la reproduction sexuée du genre humain par le commerce de bébés de compagnie.
- Nous avons anéanti la fondation multimillénaire de toute société humaine, la famille, en légalisant la parodie de l'union homosexuelle.
- Nous réclamons maintenant le droit à l'euthanasie des malades que l'on ne sait pas guérir, ou des vieillards dont l'âge ne justifie plus le coût du maintien en vie.
- Nous qualifions désormais de "dignité" le suicide assisté pour tous.
Voilà la société de barbares dans laquelle 40 ans de matérialisme borné nous ont plongés. La vie humaine se décrète désormais par décision administrative. L'Administration a remplacé Dieu. Nous sommes redevenus des sauvages sans foi, sans morale, sans honneur ; des bêtes !
samedi 22 août 2020
Le livre et "l'Intelligence" artificielle
Voilà que les apprentis démiurge de « l’intelligence artificielle » prétendre écrire des livres tous seuls, « presque » aussi bien que des vrais ! Savent-ils ce qu’est un livre ? C’est la pensée d’un auteur, plus ou moins bien exprimée, mais pensée quand-même. Savent-ils ce qu’est la pensée ? C’est la dimension cachée de l’être humain, qui s’exprime depuis son au-delà. C’est l’indiscible qui tente de se faire entendre à travers les mystérieuses particules quantiques de la créature humaine. Croit-on pouvoir brancher un ordinateur sur l’Au-delà ?
samedi 15 août 2020
15 août
Pour découvrir l’histoire de la Sainte Famille sous un autre jour, je vous propose ce petit livre : "Elles s'appelaient Marie"