“Antisémitime“ ! Hollande, Valls et les autres ne voient que cela dans les émeutes de Sarcelles, de Barbès et d’ailleurs : « la lutte contre l’antisémitisme est une priorité nationale », « c’est tout simplement de l’antisémitisme, du racisme »… Mais, ces hordes de sauvages, comme les a appelés le maire de Sarcelles, se moquent bien du sémitisme et de son contraire. Ils ne savent même pas où est Gaza. Ils sont casseurs, c’est tout. Il paraît que les juifs ont peur pour leur sécurité et veulent fuir la France. Mais, cela ne changerait rien aux casseurs qui casseraient toujours, pour d’autres prétextes, voilà tout. Si l’on veut soigner le mal, il faut d’abord l’identifier correctement. Or ce mal n’est pas de l’antisémitisme. Il est de l’antiFrance. Ces Français-là, dont proviennent les casseurs, détestent les Français. Ils veulent la France sans les Français. Ceux qui se haussent du col aujourd’hui en criant hypocritement à l’antisémitisme veulent cacher qu’ils sont les responsables de la situation. Ils n’ont eu de cesse d’inonder la France d’une population africaine non assimilable en masse, parce que d’une culture et d’une religion antinomiques au nôtres. Les uns ont agi par bêtise, par utopie universaliste irréfléchie. Les autres par intérêt sordide, pour se constituer des réserves électorales. Résultat : l’inévitable phénomène de rejet qui voit s’affronter aujourd’hui les masses autochtones aux masses immigrées. Alors, messieurs les apprentis sorciers, un peu de courage ! Il faut traiter l’incendie à la base des flammes. C’est-à-dire à la base de l’immigration.
mardi 22 juillet 2014
dimanche 20 juillet 2014
Festival International du Livre Militaire

dimanche 6 juillet 2014
Être “de droite“ ou “de gauche“ ?
« La Droite revendique sa catholicité sans complexe, ce qui est plutôt bien, par contre il semble plus délicat de dire que l'on croit en Dieu lorsque l'on est de gauche… Pourquoi ? »
Qu’il me permette d’y répondre par la voie de ce blog plus personnel.
La question semble faire un a priori du statut d'homme (ou de femme) “de droite“ (avec majuscule) ou “de gauche“. On serait avant tout "de droite" ou "de gauche", comme on est grand ou petit, brun ou blond. Et de cet état naturel découlerait une plus ou moins grande aptitude à la spiritualité. Or, on ne naît pas "de droite" ou "de gauche", même si le milieu social dans lequel on a grandi contribue bien sûr à cette orientation politique. J’ai moi-même pris conscience de ce choix dès l’âge de huit ans. La Libération venait de permettre les premières élections après l’occupation allemande. C’était quand même il y a 70 ans ! Mon père, me regardant, mais se parlant finalement à lui-même, dit : « je me demande bien pour qui je vais voter ». Dans ma candeur d’enfant, croyant que socialisme voulait dire altruisme, souci du prochain. Je murmurai : « socialiste ? ». J’entends encore sa réponse, un cri : « ah, ça ! jamais ! ». Comme quoi, si l’histoire ne repasse pas les plats, elle sert quand même toujours la même cuisine.
Quant à définir ce qu'est être "de droite" ou "de gauche" (en France), je crains qu'il ne s'agisse-là que d'un classement artificiel inventé et mis en oeuvre par des politiciens professionnels ambitieux aux seules fins de se constituer des troupes de militants.
Cela dit, y a-t-il une corrélation avérée entre cet autoclassement politique et une disposition naturelle à la spiritualité ? La question posée fait un amalgame entre la "catholicité" des uns et la croyance en Dieu des autres. Ce n'est pas la même chose. On pourrait poser la question ainsi : les chrétiens catholiques sont-ils plutôt "de droite" ou "de gauche" ? J'aurais tendance à répondre : les chrétiens que l'on massacre en ce moment par milliers à Mossoul et ailleurs, sont-ils “de droite“ ou “de gauche“ ? La question pourrait aussi être : est-il plus facile de déclarer sa foi quand on se dit "de droite", que lorsque l'on se dit "de gauche" ? Elle sous-tendrait alors l'idée qu'il y aurait dans notre pays, comme une dictature de la pensée, qui pousserait les croyants à se cacher. Et que cette tyrannie des lobbies s'exercerait plutôt dans les milieux "de gauche". Est-ce ce que mon interlocuteur ressent ? Alors, je veux lui répondre ceci :
La foi n'a que faire du classement politique des Français. Elle s'offre indifféremment à tous ceux qu'une rencontre, un jour, a éclairés. La foi n’est pas la croyance qui, elle, ne relève que de l’activité cérébrale. La foi ne se démontre pas. Elle est une connexion, qui s’établit en chacun avec le tréfonds de soi-même, au-delà de la raison, au-delà des neurones, au-delà de la seule dimension matérielle de notre condition humaine. Les chrétiens appellent cela une communion. Tout le monde y a droit. Il suffit de s’y ouvrir.
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